Après 20 ans d’absence sur le petit écran, Le Bigdil s’apprête à faire son grand retour à la télévision. Dès le 2 janvier prochain, le jeu culte sera diffusé sur la chaîne RMC Story avec aux commandes l’inimitable Vincent Lagaf’ qui a accepté de revenir avec son acolyte Gilles Vautier qui incarnait Bill l’emblématique extraterrestre bleu. Toutefois, s’il a repris les commandes du programme, l’animateur de 65 ans a imposé certaines conditions à la production, comme il l’a expliqué dans une interview accordée à Télé Star, en kiosques ce lundi 23 décembre. “La première, c’était d’avoir le même décor”, a-t-il fait savoir. Ainsi, les fans de la première heure retrouveront la même porte centrale, le mur de briques, l’escalier et le grand rideau dissimulant les cadeaux.

“Je voulais aussi la même équipe en plateau, les Gafettes et Gilles Vautier dans le personnage de Bill”, a-t-il ajouté. Des conditions qui étaient essentielles pour le voir revenir sur ce format qu’il “aime plus que tout”. Toutefois, le programme s’offre une “grande nouveauté”. “C’est un prime, a-t-il expliqué. L’émission est plus longue . Du coup, on passe de quatre à cinq jeux.” Lorsqu’il a retrouvé le plateau du jeu, il a affirmé avoir “eu un frisson et plein d’émotions”. “La flamme est revenue tout de suite parce que j’ai retrouvé Le Bigdil tel que je l’ai créé et que je l’ai aimé”, a-t-il assuré. Rendez-vous maintenant le 2 janvier prochain !

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Vincent Lagaf’ évoque son salaire pour le retour du Bigdil

À l’occasion du retour du Bigdil sur le petit écran, Vincent Lagaf’ avait été invité au micro de RTL dans l’émission On refait la télé le 21 décembre dernier. L’animateur avait alors évoqué son sachet pour l’émission ainsi que les dépenses du programme. “On n’a plus les moyens d’offrir quatre bagnoles par jour, on a fait tomber des voitures, on a eu des partenaires qui ont joué le jeu, mais on a plus le dépenser sans compter”, a-t-il expliqué. Concernant son salaire, Vincent Lagaf’ s’était montré transparent. “Moi, j’ai divisé mon cachet par cinq, a-t-il assuré. Je n’ai même pas été travailler pour le pognon. J’ai été travaillé parce que j’avais besoin de savoir ce que j’étais encore capable de faire.”.